Même en été, les enfants doivent continuer à rigoler.
Nadia Marquis (Hôpital Trousseau, Paris)
On connait bien Le Rire Médecin. On est biberonnés aux clowns depuis qu'on est tout petits. Nous les soignants, moi depuis que je suis interne et les patients. Et pouvoir leur faire partager cette expérience à la maison avec leur famille, leur fraterie, c'est important.
Marie-Laure Couëc (CHU de Nantes)
J'ai découvert Le Rire Médecin, directement à l'hôpital, avec les comédiens-clowns qui intervenaient dans le service. Et là ,je me suis dit "whaou, c'est extraordinaire".
Valérie, soignante au CHU de Nancy
L'interaction entre les clowns et les soignants, ça va apporter de l'expertise et de la compétence à chacun. Je pense que les clowns ne sortent pas indemnes de leur passage à l'hôpital mais nous ne sortons pas indemnes du regard des clowns.
Le Dr Valteau-Couanet, Gustave Roussy
L'impact à mon sens est hyper bénéfique parce que ça s'inscrit dans une continuité des choses positives qui se passent à l'hôpital et qui continuent à la maison.
Dr Edith Gatbois, responsable du pôle Mère-Enfant de l’HAD de l’AP-HP
Je ne sais pas qui a dit "quand on ne peut pas ajouter des jours à la vie, il faut ajouter de la vie aux jours", mais MERCI les clowns de faire cela.
5 ans après, Aurélie qui était à l'époque infirmière en Oncologie Pédiatrique à Gustave Roussy, nous a envoyé ce touchant témoignage.
Un très grand MERCI à toutes et tous... Votre présence nous apporte beaucoup, vous donnez un peu de rêves aux enfants ains iqu'à leurs parents là où justement il est bien loin...
Emilie G., infirmière à l'hôpital Necker
La venue des clowns est un moyen ludique, judicieux et original qui permet à l'enfant de se retrouver lui-même en laissant de côté quelques instants son statut de malade, auquel les soins et examens le renvoient inéluctablement
Isabelle Funck-Brentano, psychologue évoque la mission des clowns témoigne du rôle des clowns et de la relation à l'enfant
Les clowns interviennent dans un mode communication fondé sur le jeu, sur le théâtre, sur les confusions de rôles : le médecin devient patient, le parent devient clown, etc... Ca débloque des situations, y compris chez des enfants qui ne peuvent pas parler.
Dr Jacques Grill, de l'institut Gustave Roussy et ancien vice-président du Rire Médecin
Quand l'enfant est détendu, tout le monde est détendu.
Hélène Anquetil, infirmière en service d'hématologie pédiatrique
Quand l'enfant joue avec les clowns, il n'est plus à l'hôpital.
Pr Alain Fischer, chef du service Immunologie et hématologie pédiatrique à l'hôpital Necker-Enfants Malades à Paris.
Les interventions des clowns du Rire Médecin spécialement formés pour intervenir à l'hôpital se basent sur une approche ludique d'entrée en contact avec les patients et leurs proches et sur la transmission préalable par l'équipe médico-soignante d'informations essentielles sur l'état médical et psychologique du jeune patient.
Martin Hirsch, directeur général de l’Assistance Publique Hôpitaux de Paris AP-HP
Nous avons relevé que pour les malades transférés du service d'immuno-hématologie en réanimation, dont le pronostic est hélas souvent fatal, les parents trouvent très gratifiant la continuité qu'apportent les clowns, qui vient renforcer celle assurée par les visites quotidiennes du médecin référent de l'enfant et de la psychologue d'immuno-hématologie, ainsi que de certaines infirmières ou aides-soignantes.
Pr Philippe Hubert, chef de service de réanimation néonatale et pédiatrique à l’hôpital Necker-Enfants Malades AP-HP
Les clowns, c'est la vie qui entre par la grande porte et qui est déversée dans les couloirs à grands renforts de claquements de mains et de bonne humeur.
Dr Yves Réguerre, Chef de clinique à l'hôpital Saint-Louis
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